Cartografiedel microracconto 2. Percorsi tra stilistica e traduzione / Cartographies du microrécit 2. Parcours entre stylistique et traduction 1. Microfiction en français / Microracconto in francese 10.30 Cristina Alvares (Universidade do Minho) Tant qu’il y a une bête et un songe . Animaux et microrécits dans Zoologies de Laurence Leduc-Primeau 11.00 Tommaso Gurrieri (Direttore Editoriale Edizioni Clichy e traduttore) Tradurre Microfictions di Régis Jauffret 11.30 Anna Isabella Squarzina (LUMSA) Microfiction et implicite chez Régis Jauffret 2. Didattica e microracconto in LUMSA 12.00 Presentazione del volume Microenfance a cura degli studenti di Mediazione linguistica e culturale 12.15 Presentazione della traduzione italiana di Teatro de ceniza di Manuel Moyano a cura di Marta Selvaggio (Studentessa di Mediazione linguistica e culturale) 12.45 Buffet 3. Altre scritture brevi 14.30 Francesca Chiusaroli (Università di Macerata) Il trattamento del linguaggio figurato nelle traduzioni in emoji: il caso di Pinocchio in Emojitaliano. 4. Flash Fiction in English/ Microracconto in inglese 15.00 Ġorġ Mallia (University of Malta) Flash Fiction, the Maltese Experience: the Online Anthology Għidli Mitejn/Tell me 200 15.30 Cristiana Pugliese (LUMSA) Telling Scary Stories in the Digital Age: The Twitter Ghost Story Dear David 16.00 Pausa caffè 5. Microrrelato en español / Microracconto in spagnolo 16.30 Ana Calvo (Universidad CEU San Pablo, Madrid), Cartografías abiertas hipermediales 17.00 Gordana Matic (University of Zagreb), Transgresiones e hibridaciones genéricas en la minificción contemporánea latinoamericana 17.30 Elisabetta Vaccaro (LUMSA) Ana María Matute entre relatos breves y microrrelatos : Los niños tontos 18.00 Aviva Garribba (LUMSA) Cocina de palabras: los microrrelatos-receta 18.30 Conclusioni
↧
Cartografiedel microracconto 2. Percorsi tra stilistica e traduzione / Cartographies du microrécit 2. Parcours entre stylistique et traduction (Rome)
↧
"Littératures francophones et arts comme prisme de l’H/histoire..." (Université d'El Jadida)
APPEL A COMMUNICATION Littératures francophones et arts comme prisme de l’H/histoire (Zone ACP Afrique Caraïbe Pacifique, ou encore: Maghreb ou Machrek? Asie, Pacifique, et leurs diasporas en France). Colloque international organisé par : Le Laboratoire de Traductologie, Communication et Littérature (TCL) Mercredi et jeudi 25 et 26 mars 2020 * DESCRIPTION : Dans les grands textes de la littérature la plus "canonique", l'Iliade, La Chanson de Roland , Le Cid, La Chartreuse de Parme, Les Misérables, Quatre-vingt-treize, Guerre et paix, Les Possédés, Le Docteur Jivago..., l'imbrication, sous forme réaliste ou mythique, de l'Histoire et de la littérature n'est plus, bien sûr, une révélation. De sorte que certaines œuvres littéraires, parfois plus vraies que des documents scientifiques, sont devenues la source féconde de recherches historiques! Corneille, Hugo, Stendhal, Tolstoï, Dostoïevski, ou Pasternak, ne nous apprennent-ils pas autant (voire plus) sur la Reconquista , la Révolution française, les guerres napoléoniennes, la Révolution russe, que bien des ouvrages savants? Comme Proust sur l'affaire Dreyfus? Les lectures matérialistes et socio-critiques nous ont habitués à cela. Bien sûr, le domaine des études postcoloniale a, depuis les années 1980 du siècle dernier, avec des auteurs comme W. Saïd, Ashcroft, Gareth, Tiffin, Spivak, ou Homi Bhabha), exhumé le tuf historique impérial enfoui, sous nombre d’œuvres canoniques des littératures européennes. Racines et la Traite triangulaire, La Condition humaine et la Révolution chinoise, L’Étranger et la Guerre d'Algérie, la Condition humaine et la Révolution chinoise, Le Bloc notes et les décolonisations, n'ont d'existence et de signification qu'en interaction. La liste de ces ouvrages doubles, en miroir, est interminable: La Rose des sables, la Peste, Les Noces, La Voie royale, les Conquérants, Citadelle... A tel point que l'on ne saurait la clore. Mais ce qui est remarquable est que dans ces livres, l'Histoire n'épuise pas le mythe, le symbole, la fiction, et inversement, d'où leur richesse inépuisable. Comment cela ne serait-il pas encore plus vrai dans les arts et littératures francophones coloniales et postcoloniales, aux premières loges des événements et bouleversements, d'un monde qui se globalise? L'histoire (avec grand ou petit H) ne peut être que sous-jacente à Fromentin, Loti, Maupassant ou Verne. Dorgelès, Morand, Les Tharaud, Les Leblond et d'autres, ne s'appréhenderaient pas sans connaissance de la colonisation de l'Asie, du Maghreb, ou de l'Afrique. Pensons également aux riches littératures francophones, depuis les indépendances, africaines, antillaises ou asiatiques: Hampâté Bâ, Kourouma, Césaire, Senghor, Hamidou Kane, Chamoiseau, Glissant... Combien d'évolutions historiques ne se cachent-elles pas derrière chacune d'elles? Mais attention ces œuvres ne se réduisent pas à être de simples traductions fictionnelles événementielles, puisqu'elles-mêmes produisent aussi des faits. Césaire, Senghor, Damas ne fabriquent-ils pas, à leur manière, des événements culturels et politiques, tout comme Montherlant, Camus, Malraux, Mauriac ou Duras, sans parler de Fanon ou Memmi? Notre colloque se propose donc d'interroger un large corpus, à cette aune: faire apparaître l'épaisseur des faits historiques sous les créations esthétiques, tout en démontrant que ces deux dimensions sont en constante relation. Les supports artistiques ne rencontrent pas d'exclusion puisqu'ils incluent aussi bien les textes littéraires proprement dits, que les documents historiques, les peintures, cartes postales, œuvres cinématographiques. Géricault, Fromentin, Ingres, Delacroix, Dinet peuvent être exploités, même thématiquement, sans compter tous les anonymes, qui peuvent trouver ici leur place. Les aires géographiques sont encore plus ouvertes (sans exclusive) sur le Maghreb, l'Afrique, l'Asie, l'Amérique, la consigne à respecter étant l'interaction de l'histoire coloniale ou postconiale, avec ses traductions imaginaires, fictionnelles, et représentations picturales ou autres. Nous nous demanderons, par exemple, comment ces écrits et images peuvent devenir des documents historiques, mais aussi comment ils modèlent l'histoire à leur façon. Sans eux, notre vision du passé colonial serait certainement très différente. En cela, ils créent aussi du passé, et façonnent du futur. Comment décider, sous cet angle, qui englobe l'autre, du réel impérial (ou post-impérial), ou de sa projection imaginaire? Histoire littéraire? Littérature historique? Sans parler de l'éternel problème du roman historique et de la peinture d'Histoire. Sans préjugé ni jugement d'aucune sorte, ce qui devra essentiellement nous préoccuper, au cours de ce colloque, sera d'éclairer la face cachée de cette complexe et foisonnante dimension occultée: découvrir des faits réels, guerres, révoltes, révolutions des peuples colonisés... (ou leur préparation), sous les écrits des romanciers, poètes, auteurs de théâtre et d'essais. Pour ce colloque, quittant le corpus francophone officiel, nous nous consacrerons donc exclusivement aux littératures coloniales ou postcoloniales, celles aussi du "Tout Monde" selon Edouard Glissant . Mais aussi celle de Bauman, Mbembé ou encore Amselle. Axes proposés (mais non exhaustifs):Les littératures coloniales et postcoloniales, comme documents historiquesLe roman colonial en tant que roman historiqueCe que ces littératures doivent à l'histoire, et inversement:Dans la littérature maghrébine d'expression françaiseDans le roman d'Afrique subsaharienneLittérature et décolonisationReprésentation littéraire des guerres de libérationLes grandes figures emblématiquesLes héros des résistances nationales et nationalistesLe quotidien colonial en littérature * Bibliographie : Award, Miriam Petra, Les effet de la colonisation française sur la littérature maghrébine: une analyse portée sur quatre œuvres de Driss Chraibi. Thèse (Islande) 2014. (Consultable en ligne) Boucheron. Patrick., “On nomme littérature la fragilité de l’histoire”, dans Le Débat , 2011/3, n°165, p. 54. Emmanuel Bouju, La Transcription de l’histoire, essai sur le roman européen , Rennes, PUR, coll.«Interférences», 2006. Pierre Citti, Contre la décadence-Histoire de l’imagination dans le roman 1890-1914. Paris PUF, 1987. Corbin. Alain., “Les historiens et la fiction”, in Le Débat , 2011/3, n°165, pp. 57-58. Gengembre Georges., “Le roman historique: mensonge historique ou vérité romanesque ?”, dans Études , 2010/10, n°413, p.367. Kathleen Gyssels Passes et impasses du comparatisme postcolonial caribéen. Cinq épasses (Honoré Champion) Pierre Nora, «Histoire et roman: où passent les frontières?», dans Le Débat , n°165, mai-août 2011, p. 6-12 Dominique Kalifa, «L’imprimé, le texte et l’historien: vieilles questions, nouvelles réponses?», Romantisme , 2009, n°143/1, p. 93-99 Dinah Ribard et Judith Lyon-Caen, L’Historien et la littérature , Paris, La Découverte, 2010. Emmanuelle Sibeud, Une science impériale pour l’Afrique. La construction des savoirs africanistes en France, 1878-1939, Paris, Éditions EHESS, 2002. Moudileno Lydie «Qu’est-ce qu’un auteur postcolonial? dans Ecrire l’Afrique -Monde Mbembé achille et Sarr Felwine, Ecrire l’Afrique-Monde, Dakar édition Philippe Rey, Jimsaan 2017. Said Edward, l’Orientalisme: l’Orient créé par l’Occident, 1978. Sarr Felwine, «Ecrire les humanités à partir de l’Afrique» dans Ecrire l’Afrique-Monde, Dakar édition Philippe Rey, Jimsaan 2017. Soudiek-Dione Maurice, «Les impasses épistémologiques autour de l’objet Afrique» dans Ecrire l’Afrique-Monde, Dakar édition Philippe Rey, Jimsaan 2017. Rancière Jacques, Politique de la littérature. Paris, Galilée 2007. Tadié. Jean.-Yves., “Les écrivains et le roman historique au XXè siècle”, in Le Débat , 2011/3, n°165, p. 136. Jacques Weber, Littérature et histoire coloniale, actes du colloque de Nantes, éditeurs Les Indes savantes. 2003. * Comité scientifique du colloque d’El Jadida: Interne : Abdelhak Jaber, Université d’El Jadida. Abdelaziz El Mahi, Université d’El Jadida Soumaya Maatouk Université d’El Jadida. Jamila Ayou Université d’El Jadida Gérard Chalaye Sielec. Abdellah Jarhnine. Université d’Oujda. Mohammed Ezzouine. Université d’El Jadida. Externe : Vladimir Kapor Université de Manchester Kathleen Gyssels (Université d’Anvers) Yves Clavaron (Université Saint-Etienne) Kora Véra Leblon (Université de Paris) Martine Job Professeur émérite (Paris) Julien Kilanga (Université d’Angers) * Comité d’organisation : Abdelhak Jaber (TCL) Université d’El Jadida. Abdelaziz El Mahi Université d’El Jadida. Soumaya Maatouk. Université d’El Jadida. Gérard Chalaye (Sielec) Ezzouine Mohamed. Université d’El Jadida. Jamila Ayou. Université d’El Jadida. Abdelhadi Filali. Université d’El Jadida. Réda Bejtit. Université d’El Jadida Youssef Faghloumi. Université d’El Jadida. Rédouane Bouchareb Université de Casablanca. * Lieu de la rencontre : Faculté des Lettres et des sciences humaines El Jadida Avenue Jabrane Khalil Jabrane 24000 El Jadida / Maroc. * Coordination du Colloque ; Les propositions sont à envoyer à: Abdelhak JABER (Université d’El Jadida) Adresseélectronique: abdelhakjaber@gmail.com El Mahi Abdelaziz : elmahiaziz@gmail.com Gérard Chalaye (Sielec) Adresse électronique: gerard.chalaye22@gmail.com * Calendrier : Date limite pour la soumission des propositions:31 décembre 2019 Communication des propositions retenues:30 janvier 2020 Date limite pour l’envoi des articles:25 février 2020 Date limite pour l’envoi des versions définitives des articles:20 mars2020 Publication:été 2020 * Les frais d’inscription seront de (800 Dh) et couvriront hébergement et repas. Les membres de la Société Internationale d’Etude des Littératures de l’Ere Coloniale (Sielec) seront pris en charge par le Laboratoire TCL.
↧
↧
"Culture des artisans, culture des peintres à Milan et Bologne (XIV e - XV e siècles)" (Conférence de B. Del Bo)
Beatrice Del Bo (Università degli studi di Milano) Culture des artisans, culture des peintres à Milan et Bologne (XIV e - XV e siècles) Depuis les années 1980, l’historiographie italienne s’interroge sur l’alphabétisation des «classes inférieures», c’est-à-dire les paysans et les artisans dont font partie les peintres. Les débuts de l'écriture pratiquée par les artisans en Italie peuvent être datés du XIV e siècle, ce qui coïncide avec la propagation de la littérature vernaculaire qui marque un changement d'époque. Son formidable développement a permis de conquérir un nouveau public de lecteurs et de conférer de la dignité à la « langue maternelle », réservée jusque-là à un usage exclusivement oral. En me fondant sur des documents et des archives de Milan et Bologne aux XIV e et XV e siècles, je me propose d’étudier la culture des artisans. Pourquoi écrivent-ils? Qui sont leurs destinataires? Que pensent-ils transmettre ou obtenir par leurs écrits? Quelles sont les fonctions et les ambitions de leurs textes? * Beatrice Del Bo dispensera sa conférence dans le cadre du séminaire La Culture des peintres de la Renaissance. Mercredi 27 novembre 2019, 17 h – 19 h Salle de séminaire de l’IHMC (esc. D, 3e étage) École Normale Supérieure, 45 rue d’Ulm, Paris 5e
↧
"Liberté de ton et plaisanterie dans la lettre" (Tours)
11 e colloque internationalL’épistolaire antique et ses prolongements européens avec le soutien d’ICD (programme Libertés ), de la Commission Recherche de l’université de Tours, de la Faculté de Lettres et Langues et de la Filière Lettres LIBERTÉ DE TON ET PLAISANTERIE DANS LA LETTRE 20, 21 et22novembre2019– 5 e étage de la Bibliothèque Universitaire Responsable:Élisabeth Gavoille Contact: 02.47.36.81.10 ou 09 * Ce colloque s’inscrit dans une longue série de rendez-vous biennaux sur «L’épistolaire antique et ses prolongements européens», qu’organisent depuis 1998 les latinistes de l’Université de Tours, et qui ont chaque fois donné lieu à des publications de diffusion internationale, d’abord aux éditions Peeters (Louvain/Paris/Dudley-Massachussets: 5 volumes parus sous le titre générique Epistulae antiquae ), puis aux Presses Universitaires François-Rabelais (sur les thèmes de la douleur en 2010, de l’histoire en 2012, de la polémique en 2015, des lettres de conseil et de direction en 2017), avec un nouveau volume sur les rapports entre «la lettre et l’œuvre» (colloque 2017) dont la parution est prévue en 2020.Pour cette 11 e édition en novembre 2019 , on s’intéresseraau thème «Liberté de ton et plaisanterie dans la lettre» – en lien avec la problématique générale des «libertés» sur laquelle travaille désormais l’unité interdisciplinaire ICD, et comme suite élargie du colloque «Le rire des épistoliers (XVIe-XVIIIe siècles)» organisé en juin 2017 à Brest par Marianne Charrier-Vozel (Association Interdisciplinaire de Recherches sur l’Épistolaire) qui fait elle-même partie de notre comité scientifique. En matière d’écriture épistolaire, la liberté de ton peut aller de la parrhêsia (franc-parler) à l’allusion plaisante, de la provocation transgressive au raffinement spirituel. Le point commun à tous ces aspects sera l’effet comique recherché et produit, selon la situation de l’épistolier et son rapport au destinataire, individualisé ou générique.Au-delà de ce que Cicéron définit lui-même , dans une lettre fameuse à Curion , comme «genre familier et plaisant» cultivant le plaisir de l’amitié ( Ad Fam. II, 4, 1), des lettres sérieuses ou polémiques peuvent contenir des moqueries et des traits d’esprit.Dans cette réflexion collective on pourra partir du vocabulaire et du sens des expressions employées pour désigner la plaisanterie dans la lettre ( iocus/iocari, halucinari, hilarus/hilaritas, ridere… ), de l’analyse rhétorique et philosophique sur la plaisanterie (enjeux et modalités, voir en particulier Cicéron, De oratore II, et Quintilien, I.O . VI, 3), pour examiner de multiples cas à travers les écrits épistolaires, dans leur intention et dans leur fonction pragmatique: autodérision de l’épistolier, railleries dirigées contre un adversaire, complicité avec le destinataire, effet de diversion ou de détente dans une situation personnelle ou politique critique, contribution à la visée persuasive. * PROGRAMME : Mercredi 20 novembre 2019–1 ère journée: Antiquité classique et païenne Matin 10h-Ouverture du colloque, parAlexis Chommeloux,doyen de la Faculté de Lettres et Langues, et Élisabeth Gavoille, directrice d’ICD et responsable du colloque Modérateur: Aldo Setaioli 10h30- François Guillaumont (Université de Tours): «Formes et fonctions de la plaisanterie dans les lettres de Cicéron à Trebatius ( Ad Familiares , VII, 6-18)» 11h- Ida Gilda Mastrorosa (Université de Florence, Italie): « Contenti simus hoc Catone : liberté de ton et plaisanterie ambiguë dans les témoignages épistolaires d’Auguste» 11h30- discussion Après-midi– modératrice: Ida Gilda Mastrorosa 14h30- Cécile Margelidon (ENS Paris/ Tours ICD): «Jeux étymologiques et plaisanteries érudites dans la 5 e Héroïde d’Ovide» 15h- Déborah Roussel (Université de Tours/ ICD, EA 6297): « Liber : livre et liberté dans les Tristes et les Pontiques » 15h30- discussion et pause 16h- Aldo Setaioli (Université de Pérouse, Italie): «De l’auto-ironie à la parodie dans les Lettres de Sénèque» 16h30- Nicolas Drelon (Université Paul-Valéry Montpellier3/ CRISES, EA 4424): «Rire de soi, faire rire de soi: l’autodérision dans les Lettres de Pline» 17h- Rémy Poignault (Université de Clermont-Auvergne, CELIS, EA 1002): « Grauitas et hilaritas dans la correspondance entre Fronton, Marc Aurèle, Lucius Vérus et Antonin» 17h30- discussion Jeudi 21 novembre 2019 – De l’Antiquité tardive à la Renaissance (grec/latin) Matin: Antiquité tardive et chrétienne – modérateur: François Guillaumont 9h- Étienne Wolff (Université Paris-Nanterre/ ArSCan, UMR 7041): «Liberté de ton et plaisanterie dans la correspondance de Sidoine Apollinaire» 9h30- Marlène Kanaan (Université de Balamand-Liban/ Institut Saint Jean Damascène): «Moquerie et traits d’esprit dans les lettres de Grégoire de Nysse» 10h- Aline Canellis (Université Jean-Monnet Saint-Étienne/ HiSoMA, UMR 5189): «Saint Jérôme épistolier: entre sagesse populaire et audace littéraire» 10h30- discussion et pause 11h- Pierre Descotes (Université de Paris-Sorbonne/ LEM, UMR 8584): «L’ironie dans la correspondance d’Augustin d’Hippone» 11h30- Lionel Mary (Université Paris-Nanterre/ ArSCan, UMR 7041): «Un plaisantin fort sérieux: Venance Fortunat en ses lettres-poèmes» 12h- discussion Après-midi: Moyen Âge / Renaissance– modérateur: Rémy Poignault 14h30- Alberto Ricciardi (Université Guglielmo Marconi, Rome): «La plaisan-terie chez les épistoliers du Haut Moyen Âge: droit ou privilège?» 15h- Jean Schneider (Université Lumière-Lyon 2/ HiSoMA, UMR 5189): «L’humour dans les lettres de Jean Tzetzès» 15h30- discussion et pause 16h- Laurence Bernard-Pradelle (Université de Limoges/ EHIC, EA 1087): «Quelles plaisanteries pour quels destinataires? Le sel de l’esprit dans les Lettres familières de Leonardo Bruni Aretino ( ca. 1370-1444) à la lumière des maîtres, Cicéron et Pétrarque» 16h30- Jeanine De Landtsheer (KU Leuven/ Seminarium Philologiae Huma-nisticae): «Juste Lipse à propos de son séjour en Westphalie» 17h- discussion Vendredi 22 novembre 2019–3 e journée: Lettres françaises et européennes Matin– modératrice: Marianne Charrier-Vozel 9h30- Tamara Valčić Bulić (Université de Novi Sad, Serbie): «La liberté de ton dans les lettres-dédicaces des Novelle (1554, 1573) de Matteo Bandello» 10h- Viviane Mellinghoff-Bourgerie (Université Ruhr-Bochum/ SACESR):« À dire la vérité, cette lettre me semble une saucisse. Liberté de parole et liberté de pensée dans les Lettres facétieuses et subtiles de Cesare Rao, traduites par Gabriel Chappuys (1584)» 10h30 – discussion et pause 11h- Cécile Lignereux (Université Grenoble-Alpes/ Litt&Arts, UMR 5316): «Civilité et enjouement dans les lettres de congratulation à l’âge classique» 11h30- Massimo Scandola (Université de Tours / CESR, UMR 7323): «La plaisanterie dans les Rime milanesi de Carlo Maria Maggi (1630-1699)» 12h: discussion Après-midi – modératrice: Élisabeth Gavoille 14h30- MarkoŠtuhec (Université de Ljubljana, Slovénie): «Commérages et plaisanteries dans les correspondances privéesde la noblesse du duché de Carniole aux XVIIe-XVIIIe siècles» 15h- Marianne Charrier-Vozel (Université de Rennes-1/ CECJI, EA 7289/ AIRE):«Rire et mélancolie dans les lettres de Mme du Deffand à Mme de Choiseul et à l’abbé Barthélémy» 15h30- Sophie Rothé (Université de Tours/ ICD, EA 6297): «Les rires libérateurs de Sade incarcéré: consolation, revanche et agressivité de l’épistolier» 16h- discussion et clôture du colloque
↧
"Ecritures critiques" (Rennes 2)
«Écritures critiques» Journée d’étude organisée par Jean Cléder et Gaëlle Debeaux (CELLAM), proposée dans le cadre de la 9 e édition du festival Transversales Vendredi 29 novembre 2019 – Université Rennes 2, B332 * Cette journée d’étude, première étape avant une seconde qui aura lieu en avril 2020, part du constat que les arts s’écrivent, c’est-à-dire se pensent par écrit: on écrit (sur) la littérature, comme on écrit (sur) la peinture, (sur) les arts plastiques, (sur) le cinéma, etc. Il s’agira alors d’élargir le questionnement sur les pratiques d’écriture en interrogeant les essayistes et les chercheurs, autour de plusieurs enjeux comme le recrutement et la hiérarchisation des modèles de pensée ou encore l’organisation de la pensée et la mise au point des modèles heuristiques et rhétoriques. On se demandera comment se légitime le propos, et les caractéristiques d’un texte convaincant: doit-il être beau? sobre? émouvant? Comment passe-t-on de l’hypothèse à la thèse– et quelle instance valide ce passage: comment se pose et s’impose l’indicatif ? Comment, également, penser le passage de la critique à l’invention, et vice-versa? * PROGRAMME : 14h. Accueil et présentation de la journée 14h15. Entretien avec Hervé Joubert-Laurencin (PU, Université Paris X) à propos de l’édition des Écrits complets d’André Bazin, mené par Jean Cléder et Pauline Guémas 15h15. Pause 15h30. David Vasse (MCF HDR, Université de Caen), «Éloge de l’interprétation dans le travail critique» 16h10. Philippe Vilain (écrivain, membre associé du CERACC - Paris III), «Autoportrait de l’écrivain en critique» 17h. Conclusion de la journée * Le programme complet de la neuvième édition dufestival Transversales est en ligne.
↧
↧
"L’animal et l’humain. Représenter et interroger les rapports interespèces"
Appel à contributions Projet L’animal et l’humain. Représenter et interroger les rapports interespèces Revue Zizanie Date limite: 15 février 2020 Responsables: Jérôme-Olivier Allard (Université de Montréal), Fanie Demeule (Université du Québec à Montréal), Marion Gingras-Gagné (Université du Québec à Montréal) et Marie-Christine Lambert-Perreault (Université de Sherbrooke) *** De Portland à Tel-Aviv en passant par Montréal, le mouvement végane croît ces dernières années, porté par une conjoncture favorable. Le projet L’animal et l’humain , qui cherche à envisager le phénomène à partir d’une posture critique, se propose d’étudier les rapports interespèces dans les productions esthétiques (littérature, théâtre, jeux vidéo, arts visuels, etc.) et l’imaginaire socioculturel occidental depuis le milieu du 20 e siècle. Le végétarisme n’est pas une idée nouvelle, ainsi que le démontre Renan Larue dans son ouvrage Le végétarisme et ses ennemis: 25 siècles de débats (2015). L’anthropocentrisme occidental et la pensée humaniste ont toutefois positionné les humains comme une espèce supérieure, chargée de régler l’ordre du monde. Ainsi, l’humanité s’est longtemps définie, par contraste et de façon binaire, par rapport à l’animalité (Agamben, 2002). Or, les mouvements environnementaliste et écoféministe ont contribué ces dernières décennies à ébranler cette certitude. Le projet L’animal et l’humain cherche à ouvrir un espace de réflexion multidisciplinaire autour d’un enjeu d’actualité: les relations humain-animal à l’ère de l’anthropocène. Il a également pour objectif de mettre en lumière la contribution aux études animales – discipline en émergence depuis une cinquantaine d’années – des chercheuses et chercheurs issus du domaine des arts et des lettres, notamment en reconstituant un arrière-plan interprétatif. Dans les récits de mots ou d’images, les humains (ou les humanoïdes) peuvent interagir avec d’autres espèces animalières (réalistes ou fantaisistes) et engager avec elles différents types de relations fondés sur la coopération, l’affrontement ou l’oppression. Certaines productions paraissent en outre exposer, déconstruire ou reconfigurer sur un mode métaphorique les complexes rapports de force que les humains peuvent entretenir avec les autres animaux. Dans le sillage du colloque L’animal et l’humain (Université de Montréal, avril 2018), le comité scientifique du projet travaille à la préparation de deux numéros thématiques qui paraîtront en 2020 dans la revue numérique Zizanie . Les personnes souhaitant participer à ces publications sont priées d’expédier aux responsables ( animalethumain@gmail.com ), d’ici le 15 février 2020 , leur contribution (article scientifique ou œuvre de création inédite) accompagnée d’un résumé de 150 mots, de quelques mots-clés et d’une notice biobibliographique de cinq lignes. Les disciplines concernées sont nombreuses et pourront entrer en dialogue: études littéraires, études cinématographiques et télévisuelles, études vidéoludiques, études théâtrales, histoire de l’art, sémiologie, études féministes, études gastronomiques, médecine vétérinaire, anthropologie, sociologie, psychologie, philosophie, écologie, etc. Les textes soumis devront respecter le protocole de rédaction de Zizanie . Voici quelques pistes de réflexion:le spécisme et l’antispécisme dans la fiction;la convergence des oppressions et le militantisme;le véganisme, la cuisine végétalienne et leurs représentations;l’animal-aliment (viande, lait, miel, etc.) et le carnisme;les imaginaires de la chasse, de la prédation et de la taxidermie;les métiers impliquant un contact avec les animaux non humains;le deuil animalier et ses récits;l’animal non humain et le sacré;les représentations de la biosphère de l’anthropocène;l’animal non humain et les traditions culturelles;l’anthropomorphisation et l’animalisation;la place de l’animal non humain dans les cultures autochtones;les métamorphoses animalières;les manipulations génétiques et les hybridations;la communication entre humains et animaux non humains;l’animalité dans les productions esthétiques (arts, littérature, jeux vidéo, cinéma, séries télévisées, médias numériques, etc.);les personnages non humains dans les genres fictionnels de la fantasy , de la science-fiction, de l’horreur, du conte et du merveilleux. *** Renseignements: animalethumain@gmail.com Site web du projet L’animal et l’humain : https://animalethumain.weebly.com/ Site web de la revue Zizanie : https://www.zizanie.ca/
↧
H. G. Wells, La Machine à explorer le temps (trad. H.-D. Davray)

↧
A. Breton, Nadja (Fac-similé, éd. J. Chénieux-Gendron et O. Wagner)

↧
J.-K. Huysmans, Ecrits sur l'art (éd. J. Picon)

↧
↧
Coffret Boris Vian (éd. M. Malzieux)

↧
Marie-Ève Thérenty, Femmes de presse, femmes de lettres. De Delphine de Girardin à Florence Aubenas , CNRS éditions, 2019.
Alors que l’histoire de la presse célèbre volontiers ses grands hommes, elle n’a jusqu’ici accordé quasiment aucune place aux femmes journalistes, qu’elles aient été célèbres en leur temps comme Delphine de Girardin, Séverine ou Titaÿna, ou des écrivaines reconnues comme George Sand ou Colette. Pourtant, dès le XVIIIesiècle, des femmes créent et dirigent des feuilles périodiques. Les femmes journalistes du XIXesiècle, qui écrivent un journalisme de chronique directement issu du bel esprit des salons, sont leurs héritières. Cet ouvrage raconte la progression des femmes dans les journaux généralistes et la manière dont elles ont réussi à s’infiltrer et parfois à s’imposer dans l’article politique, dans la chronique judiciaire, dans la chronique des sports et dans le grand reportage. Ces femmes ont dû inventer des pratiques, créer des postures et imposer des écritures. Pour faire passer leur prose dans le journal, elles ont pu privilégier la narration, la fiction, l’écriture intime aussi. Subalternes elles-mêmes, elles ont par ailleurs souvent choisi d’enquêter sur les exclus de la société. Cet essai montre aussi combien il serait caricatural d’affirmer l’existence d’un modèle unique de la femme journaliste qui s’opposerait à son pendant normatif masculin. Car il existe une infinité de façons d’être femme journaliste. Marie-Ève Thérenty nous présente ici un panorama des femmes journalistes, du XIXesiècle et de l’entrée dans l’ère médiatique à 1944. Après l’octroi du droit de vote aux femmes françaises, les contraintes professionnelles et les enjeux ne sont plus tout à fait les mêmes. Néanmoins, dans un univers de presse encore hiérarchisé et discriminant, les femmes journalistes ont continué parfois de mobiliser les dispositifs décrits dans cet ouvrage qui se conclut donc par l’observation de trois cas plus contemporains : Françoise Giroud, Marguerite Duras et Florence Aubenas. Spécialiste de la presse, Marie-Ève Thérenty est professeure de littérature française à l’université Paul-Valéry Montpellier 3.
↧
M.-È. Thérenty, Femmes de presse, femmes de lettres. De Delphine de Girardin à Florence Aubenas

↧
S. Freud, Sur le rêve (nouvelle éd.)

↧
↧
S. Freud, Le Malaise dans la culture (éd. P. Pellegrin, trad. D. Astor)

↧
"Sortir de l’enclos" : jardins et politique(s). Histoires, expériences et perspectives franco-allemandes
Appel à communication "Sortir de l’enclos" : jardins et politique(s). Histoires, expériences et perspectives franco-allemandes Le CEREG (EA 4223) de l’Université de Nanterre, l’équipe de recherche « Mondes allemands » (EA 1577) de l’Université Paris VIII Vincennes Saint-Denis, l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Versailles et la fondation Fürst-Pückler-Park Bad Muskau organisent, du 14 au 16 mai 2020 un colloque franco-allemand sur le thème Gärten und Politik: Gärten im Spannungsfeld von politischer Inanspruchnahme und gesellschaftlichen Herausforderungen - Geschichte, Erfahrungen, Perspektiven (Titre français: «Sortir de l’enclos»: jardins et politique(s). Histoires, expériences et perspectives franco-allemandes). Les jardins français et allemands – que l’on ait à l’esprit les jardins de l’ère absolutiste, les jardins publics nés au XIXe siècle ou les jardins de particuliers - partagent une longue histoire commune encore trop peu étudiée. En faisant voyager en France dessinateurs de jardins, jardiniers, plantes, l’Allemagne du XVII e siècle et de la première moitié du XVIII e siècle a beaucoup favorisé ces échanges. L’Angleterre fut ensuite une source commune d’inspiration et de renouvellement et joua progressivement, que ce soit en France ou dans les cours allemandes, le rôle ambigu d’un modèle dont on essaya de s’affranchir pour trouver le génie propre à chaque pays. De grandes figures paysagistes trouvèrent alors l’espace pour agir et forger leurs outils: elles surent renouveler et dépasser les questions de formes et surtout faire entrer les jardins de plain-pied dans leur époque, en écho aux préoccupations des populations et pour répondre aux objectifs des décideurs. A l’heure de l’Anthropocène, on souhaiterait que la capacité d’enseignement et la portée politique des jardins soient plus largement perçues, partagées et mises en œuvre afin de pouvoir collectivement y chercher des solutions pour un monde désorienté. Si l’étude des liens entre jardins et politique n’est pas un terrain totalement vierge, le colloque entend aborder la question dans une perspective spécifiquement franco-allemande. L’histoire des deux pays, parfois adverse et souvent intimement mêlée, incite en effet à tendre des miroirs pour révéler des mouvements et aspirations profondes des deux sociétés, étudier les contrastes et transferts mutuels, ou encore croiser les études de terrain dans ce domaine encore peu exploré qu’est l'art comparé des jardins. Le colloque sera ainsi l’occasion de s’interroger d’une part, sur les liens qu’ont entretenus, depuis le XVIIe siècle, les jardins avec la politique en France et en Allemagne: symbole ou incarnation du pouvoir absolu – à Versailles ou Herrenchiemsee par exemple – accaparé plus tard par la bourgeoisie naissante puis les classes populaires; mais aussi outil d’éducation (si l’on pense aux idéaux saint-simoniens qui ont en partie inspiré la création des premiers parcs publics parisiens sous Napoléon III, ou aux Schrebergärten en Allemagne) et d’acculturation, parfois instrumentalisés par le pouvoir en place, comme le Kleingartenbewegung sous le national-socialisme ; terrains de conflits militaires – le parc de Muskau en est un bon exemple - ou lieu d’expression d’une volonté de les surmonter, comme les Jardins de la paix du Centenaire 14-18 … Il doit également permettre d’examiner de récentes initiatives en France et en Allemagne, où le jardin, compris comme processus vivant, se transforme en lieu d’expression de la démocratie et de la citoyenneté, ou devient le support de construction de nouvelles relations sociales, en particulier pour des populations fragilisées; on s’interrogera enfin sur les enjeux des jardins, à l’ère du changement climatique, dans le champ de la politique patrimoniale mais aussi dans les politiques d’aménagement territorial; en explorant évolutions récentes en France et en Allemagne, on cherchera ainsi à rassembler différentes expériences spatiales, de gestion et de politiques publiques menées dans des jardins dans les deux pays. Le colloque se tiendra à Bad-Muskau, dans le domaine du célèbre «parcomane» Hermann von Pückler-Muskau, sis sur la frontière entre l’Allemagne et la Pologne, et conçu par un prince francophile et attentif à faire profiter la population de sa création. La Stiftung Fürst-Pückler-Park Bad-Muskau , très impliquée dans l’étude des jardins et de leur transmission aux générations futures à travers une vaste offre de séminaires et des programmes de recherche sur les savoir-faire jardiniers, hébergera cette manifestation dont le but est de favoriser les échanges entre chercheurs et acteurs du jardin historique et contemporain en France et en Allemagne, et de susciter des collaborations au long cours. Des contributions relevant du champ historique, littéraire, politique, sociologique et portant sur des jardins français ou allemands – et tout particulièrement des études intégrant une dimension comparatiste ou mettant à jour des mécanismes de transferts entre la France et l’Allemagne -, sont attendues sur les thèmes suivants (liste d’exemples non exhaustive): 1. Jardins et pouvoir politique: les jardins comme symboles du pouvoir; comme espaces de mise en scène de succès militaires; manière dont des jardins et parcs ont pu être affectés par les conflits politiques; les jardins comme champ d’expression du nationalisme… 2. Jardins et éducation: les jardins comme lieu d’éducation populaire et d’acculturation, mais aussi leur instrumentalisation par le pouvoir politique; jardins et école, Schulgärten ; jardins partagés transculturels; formes et enjeux des politiques patrimoniales; initiatives européennes et franco-allemandes dans le domaine des jardins…. 3. Jardins et citoyenneté: réflexion sur les termes Volksgarten /jardins publics, jardins comme lieu d’intégration, chantiers d’insertion, jardins comme lieu d’expression démocratique; jardins et changement climatique… *** Les propositions de contributions sont à transmettre au plus tard pour le 5 janvier 2020 aux organisatrices françaises: Anne-Marie Pailhès ( pailhes@parisnanterre.fr ), Marie-Ange Maillet ( marie-ange.maillet@univ-paris8.fr ) et Stéphanie de Courtois (stephanie.decourtois@versailles.archi.fr) Elles devront indiquer le nom et prénom de l’auteur.e, l’affiliation scientifique ou institutionnelle, le titre de la communication, et comporteront un résumé de la contribution envisagée d’environ 2000 signes, en français ou allemand, ainsi que 3-4 références bibliographiques. Les auteur.e.s des propositions retenues seront informé.e.s fin janvier 2020 au plus tard. Langues de communication: français, allemand. Les frais de voyage et d’hébergement seront pris en charge par les institutions organisatrices. Une publication est prévue à l’issue du colloque. * Bibliographie indicative : Clément, Gilles / Claude Eveno: Le jardin planétaire , L'Aube/Château-Vallon, 1997. Colloque de Cerisy: Jardins en politique, avec Gilles Clément. Editions Hermann, 2016 De Courtois, Stéphanie/ Maillet, Marie-Ange/ de Rubercy, Eryck: Esthétique du jardin paysager allemand, Paris Klincksiek 2019 Dubost, Françoise: Vert patrimoine. la constitution d'un nouveau domaine patrimonial. Paris, Éd. de la MSH, 1994. Gebhard, Walter (dir.), Sozialgeschichtliche Aspekte des Gartens. Gardens in Social History , Frankfurt am Main, Peter Lang, 2002. Gröning, Gert / Uwe Schneider (dir.), Gartenkultur und nationale Identität. Strategien nationaler und regionaler Identitätsstiftung in der deutschen Gartenkultur , Worms, Wernersche Verlagsgesellschaft, 2001. Haberl, Hildegard / Pailhès, Anne-Marie (dir.), Jardins d'Allemagne . Transferts, théories, imaginaires , Paris, Honoré Champion, 2014. Horsch, Nadja / Tübbecke, Simone: Bürger, Gärten, Promenaden: Gartenkultur in und um Leipzig im 18. und 19. Jahrhundert, Passage-Verlag 2018. Lafolie, Yann: «De quoi la Friche est-elle le nom?», in: Carnets du paysage n°23, 2012, pp. 93-107. Nourry, Louis-Michel, Les Jardins publics en province : espace et politique au XIX e siècle / préf. d'Alain Corbin, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, 1997. Paquet, Suzanne / Mercier, Guy: Le paysage, entre art et politique , Presses de l’Université, Laval 2013. Reimers, Brita (éd.), Gärten und Politik – vom kultivieren der Erde , Oekom Verlag, 2010. Reitel, Bernard / Moullé, François: «La resémantisation de la ligne frontière dans des régions métropolitaines transfrontalières : le Jardin des 2 Rives à Strasbourg et la place Jacques Delors à Lille.», in Belgeo . Revue belge de géographie , 2 | 2015, URL : http:// journals.openedition.org/belgeo/16527. Rudolph, Hermann : ‘Der Schrebergarten’ in E. François und H. Schulze (éd.), Deutsche Erinnerungsorte , vol. 3 (Munich : Beck), 2001, pp. 363–81. Tabarasi, Ana-Stanca, Der Landschaftsgarten als Lebensmodell: zur Symbolik der "Gartenrevolution" in Europa , Würzburg, Königshausen & Neumann, 2007. Vonau, Elsa, La fabrique de l’urbanisme. Les cités-jardins, entre France et Allemagne 1900-1924 , Presses Universitaires du Septentrion, 2014. Vagt, Kristina, Politik durch die Blume: Gartenbauausstellungen in Hamburg und Erfurt im Kalten Krieg (1950-1974) , Munich et Hambourg, Dölling und Galitz, 2013.
↧
E. Vitorini, Les Hommes et la poussière (éd. et trad. M. Fabre)

↧
E. Morim de Carvalho, Rôles et états de la contradiction dans les Cahiers de Paul Valéry - livres 1 à 3

↧
↧
Tout Homère

↧
L'Exporateur littéraire . Derniers comptes rendus
L’Exporateur littéraire est un carnet de visites d’exposition hébergé sur le site www.litteraturesmodesdemploi.org . Ce site fédère sur un plan international les recherches consacrés à l’exposition de la littérature et du livre. Les cinq derniers comptes rendus d’exposition publiés dans L’Exporateur littéraire sont les suivants: David Martens, « Wright Morris, le visible à fleur de pages », dans L'Exporateur. Carnet de visites , Nov2019 . Gyöngyi Pal, « Pays de papier. Les livres de voyage », dans L'Exporateur. Carnet de visites , May 2019 . Beverly Marchand, « Le marché du livre franco-canadien : une mosaïque littéraire », dans L'Exporateur. Carnet de visites , May 2019. Anne Reverseau, « Variétés (Gand et Arles) », dans L'Exporateur. Carnet de visites , Jul 2019. David Martens, « Objectif littérature – Les écrivains de Marc Trivier », dans L'Exporateur. Carnet de visites , Jun 2019. * Si vous souhaitez publier un compte rendu d’exposition dans L’Exporateur , voir les informations à ce sujet sur notre site. http://www.litteraturesmodesdemploi.org/proposer-un-compte-rendu/ Le site héberge par ailleurs un Agenda des expositions . Nous suivre sur Twitter . Nous suivre sur Facebook .
↧
Dans les coulisses de l'exposition Jean Giono du MUCEM
Dans les coulisses de l'exposition Jean Giono du MUCEM. Reportage de poche Ce reportage a été réalisé par David Martens pour les RIMELL (Recherches interdisciplinaires sur l'exposition et la muséalisation de la littérature et du livre) , à l'invitation d'Emmanuelle Lambert, commissaire de l'exposition Giono du MUCEM . Il documente le travail de montage de l'exposition, à quelques jours de son vernissage. Un compte rendu de l'exposition sera publié dans L'Exporateur littéraire , le carnet de visites du site www.litteraturesmodesdemploi.org. Nous suivre sur Twitter . Nous suivre sur Facebook .
↧